tenshikuroi Vicomte de Montmaur, Seigneur de Saint-Firmin et de Dommartin-lès-Remiremont
Messages : 187 Date d'inscription : 09/09/2010 Age : 42 Localisation : Vienne (Lyonnais-Dauphiné)
| Sujet: Testament de Tenshikuroi Deschenaux Jeu 8 Mar 2012 - 22:46 | |
| - Citation :
Nous, Tenshikuroi Deschenaux, Vicomte de Montmaur Seigneur de Saint-Firmin, de Dommartin-lès-Remiremont et de Saint-Etienne-lès-Remiremont
Conscient que notre temps sur cette terre est limité et ne souhaitant pas laisser le doute quant à nos volontés après notre trépas et en pleine possession de nos facultés intellectuelles, couchons sur le vélin les volontés qui sont les nôtres et que nous entendons voir appliquer dès lors que le Très-Haut aura repris le don de la vie qu’il nous a fait.
Conformément à l’usage et selon la tradition, notre épouse légitime, Isys Deschenaux-Maledent de Feytiat, sera seule gardienne et héritière de l’ensemble des terres et domaines que nous possédons.
En revanche, lorsque le Très-Haut la conduira elle aussi vers le Soleil éternel, il est de notre volonté que le Vicomté de Montmaur revienne à notre premier né, Kylian Deschenaux. En tant que premier enfant légitime issu de notre union avec Aldrian Carsenac, il deviendra le garant du Nom et des Armes Deschenaux ainsi que le chef de famille. Les terres de Montmaur viendront appuyer sa légitimité.
A notre fils aîné, Kylian Deschenaux, nous léguons notre épée, Guenièvre, symbole de la charge Vicomtale qui lui reviendra un jour. Cadeau offert jadis par notre amie Debrinska d'Avalon, elle a souvent sauvée notre vie. Puisse-t-il en être de même pour notre fils.
A notre second fils, Arthan Deschenaux, nous léguons notre bouclier. Frappé des armes de la Famille Deschenaux, il lui rappellera la nécessaire défense de son Nom, même si son rang de naissance ne lui accorde pas la responsabilité formelle de Chef de Famille.
A mes filleuls, Soleil [Soleil], Thiberian Baccard [Thiberian] et Gamin [Gamin74], je lègue à chacun d'entre-eux l’un de mes crucifix afin de leur laisser le souvenir du lien aristotélicien qui nous unit par delà la mort.
Concernant les autres biens qui seront les nôtres au moment de notre trépas et qui ne souffre pas des exclusions mentionnées ci-avant, ils seront remis dans leur intégralités à notre tendre et aimée épouse, Isys Deschenaux-Maledent de Feytiat. Nous nous en remettons à sa sagesse et à sa droiture pour en assumer la bonne gestion.
De plus, au moment où ma main est encore assez ferme pour tenir la plume, le Très-Haut dans son infinie bonté nous a gratifié mon épouse et nous même d'un enfant en devenir. Si d'aventure notre santé devait nous faire défaut et que nous devions rejoindre Aristote avant la naissance de cet enfant, qu'il soit su que nous lui reconnaissons dors et déjà sa légitimité de fils ou de fille Deschenaux-Maledent de Feytiat.
Faict à Montmaur, le quatrième jour d'avril mil quatre cent soixante
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